Natacha, La Belle-SUr Russe - 2/2
Quand je sonnais à la porte de lappartement, ce fut Natacha qui mouvrit. Dun coup, tout métait
revenu : sa beauté, son corps de Vénus et limage, toujours aussi présente dans ma mémoire, de sa
superbe chatte ! Et avec ces souvenirs, lenvie delle qui était redevenue oppressante. Elle avait
autant de chien quauparavant ! Elle était vêtue dun fin peignoir en soie, très moulant, qui lui
arrivait à mi-cuisse et qui laissait nues ses magnifiques jambes. Il moulait son corps qui navait
rien perdu de ses appâts dautrefois. Certes elle avait un peu empâté au niveau de la taille à
cause de ses deux grossesses et de la cuisine algérienne trop riche en calories mais elle navait
ni trop grossi (peut-être un peu des hanches, qui sétaient élargies) ni navait pris de rides. Elle
était restée exactement la même femme que celle qui était arrivée une dizaine dannées auparavant,
fièrement accrochée aux bras de son mari.
- Bonjour Rafik ! Tu es superbe ! Cela fait longtemps que je ne tai vu. Larmée te réussit
très bien ! Entre ! Djaffar est à son travail, il ne rentrera que vers vingt et une heures. Je te
présente tes neveux : Sofiane, il a huit ans ! Shéhérazade, six ans. Dites bonjour à votre tonton !
Ils dirent bonjours en membrassant puis partirent chacun dans sa chambre faire leurs devoirs, nous
laissant seuls, leur maman et moi. Natacha parlait maintenant très correctement le français. En
huit ans elle avait fait dénormes progrès ; y compris dans laccent qui avait perdu son aspect
rocailleux. Je la félicitais pour ses progrès. Elle prit cela pour un vrai compliment et mapprit
quelle parlait aussi très bien larabe algérien.
Je ne savais pas exactement ce que je ressentais à ce moment là. Tout était flou en moi. Javais le
cur qui battait très vite au moment où javais appuyé sur la sonnette et encore plus vite quand
elle mouvrit la porte.
regardait aussi avec la même intensité. Je venais de découvrir quelle avait encore le pouvoir de
mémouvoir et de me mettre mal à laise. Et je sentais quelle aussi était très émue.
Elle me prit par la main et memmena vers le salon quelle avait décoré avec beaucoup de goût. Elle
avait remplacé lancien mobilier par de nouveaux meubles en chêne massif, de style berbère. Contre
le mur du fond, trônait un immense canapé vers lequel Natacha mentraîna et me fit assoir. Je lui
obéissais comme un automate, sans rien dire. Javais lesprit complètement brumeux et la volonté
partie à la dérive. Elle vint sassoir à côté de moi, sans lâcher ma main quelle tenait depuis que
les s étaient partis dans leurs chambres. Elle me regardait franchement avec ses immenses yeux
bleus. Elle avait la bouche entrouverte, comme si elle quémandait un baiser et je voyais ses narines
palpiter. Jétais aussi ému quun jeune collégien qui se retrouvait pour la première fois seul avec
sa dulcinée. Elle me dévisageait de manière presque impudique et souriait en me parlant.
- Tu es devenu encore plus beau ! Javais gardé de toi une image de jeune homme déjà très bien
de sa personne et voila que tu es devenu un magnifique homme mûr, fort et viril. Tu es à croquer !
Tu me plais encore plus quavant ! Jai mis beaucoup de temps à me remettre de ton dédain dil y a
huit ou neuf ans. Et je me suis remise à penser à toi, quand Djaffar ma annoncé ton retour. Je me
suis remise à mouiller pour toi ! Tu veux voir ?
- Allons, tu ne vas pas recommencer ! Noublie pas que tu es toujours la femme de mon frère !
Je lui dois du respect ! Et toi aussi !
- Bien sûr que nous lui devons du respect ! Mais cela nempêche pas que tu as envie de moi !
Je sais lire dans tes yeux ! Tu as autant envie de moi, maintenant, que quand tu vivais ici ! Je
sais que je te plais ! Que tu me trouves belle et bandante ! que tu bandes comme un âne rien quen
pensant moi ! Tu as envie de me sauter ici, tout de suite ! Il ny a que ta conscience qui
tempêche de le faire ! Je suis sûre que si je tâte le devant de ton pantalon, je découvrirais que
tu bandes comme un âne ! Ose dire non !
- Vraiment tu me gênes ! Je crois que je vais men aller ! Ce serait beaucoup plus sage pour
nous deux ! Je vais aller passer ma permission en Kabylie chez mes parents !
- Non ! Il nen est pas question ! Je ne vais pas te laisser partir ! Je ne referais pas la
même chose quil y a des années ! Je te tiens et je ne te lâcherai pas ! Tu resteras avec moi et tu
passeras toutes tes autres permissions avec moi ! Et tu me feras lamour ! E t tu me donneras tout
le plaisir que jattends de toi !
- Tu es vraiment folle ! Il est impossible que tu deviennes ma maîtresse ! Et moi ton amant !
Tout linterdit ! La loi et surtout la morale ! Je ne peux pas faire cela à mon propre frère ! Il ne
mérite pas ça !
- Dis-moi que je ne te plais pas ! Cest la seule chose qui fera que jabandonne lidée de
faire lamour ave toi ! Ose me dire, en me regardant droit dans les yeux, que tu nas pas envie de
moi ! Que tu ne bandes pas pour moi ! En ce moment même je sens que ta queue est entrain de
frétiller dimpatience.
Je neus pas le loisir de lui répondre. Dailleurs, je ne sais pas ce que jaurais bien pu
développer comme arguments et comme mensonges pour lamener à plus de sagesse. Djaffar venait
dentrer dans la maison. Nous avions entendu le bruit de la clé dans la serrure, puis celui de la
porte qui souvrait et qui se refermait et en quelques secondes, nous aperçûmes mon frère qui
pénétrait dans le salon. Je me levai dun bond et courus vers lui pour lembrasser. Je crois que
cétait la première fois que jembrassais ainsi mon frère. Jétais content de le voir.
- Larmée te va très bien ! Tu semble avoir la forme olympique ! Tu devrais tengager !
- Toi aussi tu sembles avoir la forme ! Content de te voir ! Et merci pour les colis que tu
mas envoyés à la caserne !
Nous continuâmes à papoter ainsi, pendant que Natacha qui avait gardée sa tenue aguichante était
allée dans la cuisine soccuper du dîner. Au bout de quelques minutes, elle réapparut pour nous
annoncer que la table était mise et que devions passer à table. Dans la cuisine, il y avait déjà les
s qui avaient commencé à manger. Le repas fut on ne peut plus étrange. Je narrêtais pas de
surveiller Natacha du coin de lil, pendant quelle aussi me dévorait de ses immenses yeux bleus,
avec sur les lèvres un sourire ironique.
Djaffar mangeait de bon appétit et avait lhumeur joyeuse. Il riait de tout et de nimporte quoi. Il
parlait avec les s de leurs devoirs et leur expliquait ce quils navaient compris. Il
prenait de temps en temps la main de sa femme, quil caressait sans aucune gêne devant moi, et lui
lançait un sourire lumineux de mari heureux. Elle lui rendait le même sourire ; le sourire dune
épouse comblée. Je me posais toutes sortes de questions sur ce couple bizarre. Je savais que mon
frère était vraiment heureux ave sa femme. Mais je me demandais si elle, elle létait autant.
doutais beaucoup en repensant à ses tentatives de faire de moi son amant. Mais quand je les voyais
ensemble, elle semblait réellement aimer son mari et être vraiment satisfaite de sa vie de couple.
Ce fut Djaffar qui le premier aborda le sujet de sa relation avec son épouse.
- Tu sais, Natacha est ce qui mest arrivé de mieux dans ma vie ! Je nai jamais été aussi
heureux que depuis quelle est devenue ma femme ! Et puis regarde les beaux s quelle nous a
donnés ! Je ne dois pas te dire cela devant elle, parce quelle va prendre la grosse tête, mais tout
cela est vrai ! Nest-ce pas chérie !
- Toi aussi tu es un bon mari ! Un bon père ! Tu vois Rafik, ton frère est trop modeste ! Il
soccupe des s beaucoup mieux que moi ! Cest lui qui les emmène tous les matins à lécole !
Rien que pour ne pas avoir à me réveiller ! Il surveille leur toilette du matin, les habits quils
mettent, les affaires de lécole ! Et il leur prépare même leur petit déjeuner ! Nest-il pas
merveilleux ?
La discussion continua sur le même ton pendant tout le repas et même après, pour le thé que nous
prîmes dans le salon. Ils sassirent en face de moi sur le grand fauteuil et se tenaient enlacés
pendant tout le temps que dura notre discussion. Vers minuit, nous allâmes tous dormir. Je repris
avec émotion, possession de ma chambre. Rien ny avait été changé. Jessayais de mendormir, mais le
sommeil me fuyait obstinément. Je narrêtais pas de penser à Natacha. Jétais vraiment perdu. Dun
côté je voulais cette femme et jétais prêt à nimporte quelle bassesse pour lavoir. Dun autre
côté, je pensais à mon frère qui était encore très amoureux de son épouse et qui ne méritait pas que
je lui fasse cette crasse de coucher avec elle. Et puis, soudain, jentendis comme il y avait plus
de huit ans maintenant Natacha gémir et crier pendant quelle se faisait tirer par son mari.
Voila que cela recommençait ! La garce samusait à mexciter et à mettre mes nerfs à bout. Et elle y
réussissait au-delà de tout ce quelle espérait. Jentendais mon frère qui essayait de la faire
taire pour ne pas me réveiller et accessoirement réveiller les s. Mais rien ny fit. Elle
continuait de hurler en arabe de continuer de la baiser de plus en plus fort. Et encore plus
fort ! Jusquau moment où elle poussa un râle denfer, signe - qui, jen étais convaincu, métait
adressé - quelle venait de jouir très fort.
Inutile de décrire dans quel état les ébats de Natacha et Djaffar mavaient mis. Je me rendais
compte que jétais entrain de devenir jaloux de mon frère, parce quil baisait et faisait jouir sa
femme ! Je voulais être à sa place ! Je voulais sa place ! La garce savait ce quelle faisait ! Elle
savait quelle avait gagnée ! Que plus jamais je ne refuserais de lui faire lamour ! Que jallais
devenir son esclave ! Et que je nallais pas pouvoir mendormir de toute la nuit, parce que
jattendrais le matin pour quelle vienne me rejoindre ! Elle me lavait indirectement annoncé dans
la cuisine, en mexpliquant que le matin, elle faisait la grasse matinée, pendant que son mari
soccupait de tout et accompagnait les s à lécole, avant de se rendre lui-même à son travail.
Quelle allait donc être seule avec moi dans la maison pendant presque toute la journée !
/
Je réussis à mendormir aux premières lueurs de laube. Ce fut Natacha qui me réveilla vers huit
heures, juste après que Djaffar et les s fussent partis. Ce fut la sensation du drap qui se
soulevait et dun corps qui se glissait en dessous pour venir se coller à moi, qui me réveilla. Je
crus un moment que jétais entrain de rêver. De rêver que Natacha, complètement nue, était entrain
de coller son merveilleux corps contre le mien et de glisser sa jambe droite entre mes cuisses pour
la frotter contre mon pubis et mon sexe enfermé dans le pantalon du pyjama que je portais. Javais
la queue qui frétillait sous leffet du frottement de la jambe. Jouvris les yeux et je découvris la
réalité - encore plus belle que le rêve de Natacha, complètement nue, allongée à mes côtés et
était entrain de me caresser avec tout son corps.
Je la vis, appuyée sur son avant bras gauche qui me regardait avec ses magnifiques yeux bleus et qui
me souriait, tout en continuant de me caresser lentrecuisse avec sa cuisse droite. Quand elle vit
que javais ouvert les yeux, elle approcha sa tête de la mienne et me donna un léger baiser sur la
bouche. Elle avait lhaleine fraiche et agréable dune femme qui venait de se brosser les dents et
dégageait une superbe odeur de propre lodeur très caractéristique dune savonnette de luxe de
fabrication locale, qui avait un grand succès en ces temps là indiquant quelle venait de prendre
une douche ou même un bain. Ses caresses sur mon entrecuisse et mon sexe se firent plus insistantes.
Elle me donna un deuxième baiser sur la bouche et se mit à parler.
- Jaime les hommes beaux et forts comme toi ! Il ny a pas une seule trace de graisse sur toi
! Et tu as la peau très douce ! Je vais me régaler ! Je sais que ce matin tu ne me refuseras rien !
Tu nous as certainement entendus faire lamour cette nuit ! Et je suis sûr que tu as bandé très fort
et que tu voulais être à la place de Djaffar !
- Oui ! Jai même été jaloux et je nai pas pu dormir de toute la nuit ! Je ne veux plus quil
te touche ! Je veux que tu sois à moi ! Rien quà moi ! Tu es entrain de me rendre fou !
- Tu es entrain de bander très fort ! Jadore faire cet effet à un homme ! Depuis dix ans je
nai fait lamour quavec mon mari ! Les hommes me manquent !
- Tu parles comme une pute !
- Qahba ! Dis-moi que je suis une qahba ! Jaime ce mot ! Je me sens lâme dune qahba ! Dis-
moi que tu vas me baiser comme une pute ! Une qahba !
Jétais perdu. Je ne savais pas quoi penser de cette femme. Javais une telle envie delle ! Dun
autre part, le côté pute quelle était entrain de me montrer me gênait beaucoup. Je voulais bien
quelle couche avec moi, mais je refusais quelle me dise quelle avait envie dautres hommes (que
moi, et à la rigueur, que mon frère). Elle vit, au visage fermé que je lui présentais, que jétais
très fortement contrarié.
- Tu napprécies pas ce que je te dis ! Tu ne veux pas que je me comporte comme une pute ! Tu
sais ce nest quun fantasme érotique chez moi ! Cela ne veut pas dire que je me donne à droite et à
gauche ! Je nai encore jamais trompé Djaffar ! Tu es le premier et certainement le dernier ! Mais
jai, comme toutes les femmes des fantasmes ! Et être considérée et traitée comme une qahba, fait
partie de mes fantasmes les plus forts. Dis-moi que tu vas me traiter comme une pute ! Comme une
chienne ! Montre-moi ta belle queue ! Je la sens se trémousser sur ma cuisse ! Enlève ton pantalon
de pyjama ! Wahhhhhh ! Achhal kbiiiiiiir ! Ki el ghoul ! Ki taa el hmar ! (Comme il est grand !
Cest un monstre ! Cest comme celui dun âne !) Je vais bien le sentir ! Je le veux tout de suite
dans mon hatchoune !
Tout en parlant, elle tâtait et palpait lengin qui narrêtait pas de frémir dans sa main. Javais
effectivement un bel engin; les quelques femmes qui avaient été mes maîtresses lavaient beaucoup
apprécié. Mais il me semblait (ce nétait certainement quune vue de lesprit) que ce jour là mon
sexe avait encore grandi et quil avait atteint des mensurations monstrueuses. Inutile de dire que
jen étais aussi fier quun coq !
- Je voudrais dabord que tu me fasses une pipe !
- Nous avons tout le temps pour faire tout ce que tu voudras ! Et ce que je voudrais ! Mais
maintenant je veux absolument mempaler sur « zebek » ! Je veux le chevaucher comme une amazone ! Je
veux le sentir me pénétrer jusquau fond et me faire mal ! Bghit i wedjaani ! (Je veux quil me
fasse mal !)
Et sans attendre de réponse, elle vint, dans sa formidable nudité, chevaucher mes cuisses et
positionner sa chatte luisante de manière à placer le gland tuméfié de mon dard entre ses grandes
lèvres, quelle ouvrit en faisant aller et venir le gland le long de la fente. Elle produisait un
liquide abondant et visqueux qui venait lubrifier la vulve et faciliter le glissement du gland le
long de la fente.
Natacha gémissait doucement en préparant ainsi la pénétration. Elle avait les yeux rivés sur le
spectacle que faisaient mon engin, qui continuait de frémir, et sa chatte qui souvrait
graduellement. Elle avait sur la bouche ce fameux sourire de louve montrant ses canines et bavant à
lavance sur tout plaisir quelle allait prendre. Et puis dun seul coup elle se laissa tomber sur
le haut de mes cuisses en poussant un « ahhhhhhhhhh ! » de plaisir, qui provenait des tréfonds de sa
poitrine.
Elle avait posé ses mains sur ma poitrine pour avoir une assise plus stable et commença un mouvement
montant et descendant et parfois tournant faisant pénétrer mon dard au plus profond de ses
entrailles. Elle remontait très haut jusquà ce quelle aperçoive le gland qui ressortait
complètement dentre ses grandes lèvres, et se relaissait tomber. Le spectacle qui soffrait moi
acteur pour le moment passif était sublime. Je voyais une farouche amazone chevaucher un fier
destrier, quelle cherchait à mater. Elle montait et descendait ses hanches à une vitesse de plus en
plus rapide et sempalait sur mon glaive, qui commençait à sentir arriver lorgasme. Je ne voulais
pas jouir tant que Natacha naura pas joui. Je mefforçais difficilement - de résister au torrent
qui sapprêtait à déferler sur moi.
Ma belle-sur, pendant ce temps sétait enfermée dans son plaisir. Je la voyais qui gémissait et qui
tordait sa bouche pour essayer de retarder le moment où elle allait être submergée par lorgasme
et qui bavait sur moi. Ses yeux sétaient voilés et ses narines palpitaient. Jaurais aimé fixer ce
spectacle pour léternité sur de la pellicule, tant il était bandant ! Et puis je la vis qui
narrivait plus à retenir sa tête qui dodelinait de droite à gauche, et de haut en bas, comme si son
cou narrivait plus à la retenir.
- Da ! Da ! Daaaaaaa ! Ouiiiiiiiii ! Mlih ! Zid ! Ziiiiiiiid! Natacha qahba! Dis: Natacha
qahba! Dis-le! Goul! Goul : enhab en-nik qahba! Goul : enhab en-nik Natacha! (Dis: je veux niquer
une pute ! Dis : je veux niquer Natacha !) Je vais jouiiiiiiiiiiiiir ! Daaaaaaaa ! Daaaaaaaaaa !
Et elle déchargea en poussant un très long râle de jouissance et en remplissant mon bas ventre de
tout le jus brulant que sa chatte en feu avait produit pendant lacte. Elle seffondra, complètement
essoufflée, sur ma poitrine en continuant à produire une forte quantité de salive, qui finit en
grande partie sur les draps du lit. Jétais heureux quelle ait joui avant moi. Cela maurait mis la
honte, si cela avait été le contraire. Mon engin était encore dans son état maximal dérection. Mais
il ne fallait plus que quelques va-et-vient dans la merveilleuse chatte gluante, brulante et
moulante comme une main qui le masturbait, pour que lui aussi lâche tout son foutre dans un râle de
bonheur. Et jéjaculai en plusieurs bordées successives- au fonds de son vagin une quantité
incroyable dun sperme épais, brulant et visqueux qui ressortit presque aussitôt, éjecté à
lextérieur par les va-et-vient de mon dard.
Je sentis le sperme qui sécoulait de la chatte de mon amie et qui venait se mélanger, sur mon
pubis, au jus quelle avait déversé dans sa jouissance. Je mes fis la réflexion que les draps du lit
étaient bons pour une séance de lavage à leau brulante. Natacha avait posé sa tête au creux de mon
épaule droite et tentait de reprendre son souffle. Son corps était complètement collé au mien : sa
poitrine contre la mienne; son ventre contre le mien ; sa chatte était encore occupé par mon dard
qui, bien que repu, navait rien perdu de son érection ; et ses cuisses contre les miennes. Nos deux
corps enlacés ne faisaient plus quun.
Au bout de quelques minutes, elle releva la tête et me fixa de ses magnifiques yeux bleus, avec sur
les lèvres un sourire de femme satisfaite.
- Il ne faut pas me juger mal ! Javais tellement envie de toi ! Et je ne suis pas déçue ! Tu
es vraiment un super amant !
- Mais je nai encore rien fait ! Cest toi qui a tout fait ! Lhomme, dans cette affaire,
cétait était toi! Cest toi qui mas baisé ! Et non le contraire !
- Tu nas pas aimé ?
- Oh, si ! Jai adoré ! Mais ma fierté de mâle veut quon ne peut pas sarrêter là ! Il faut
que je reprenne les rênes du combat ! Que tu sois mon esclave et non pas mon maître !
- Ordonne à ta « qahba » et elle obéit. Elle est en attente de la suite. Tu veux maintenant
que je te suce ?
- Une fellation ! Merveilleux ! Avec la bouche, les lèvres et la langue que tu as, je suis sûr
que ce sera paradisiaque !
Et me fit une fellation denfer qui se termina par une éjaculation dans la bouche. Je sus ainsi que
Natacha avait un goût immodéré pour le sperme. Non seulement elle aimait en être rempli, mais elle
adorait lavaler. Et du sperme, je lui en avais fourni en quantité industrielle, ce jour là et les
jours qui suivirent. Et au cours des permissions suivantes. Et au cours des dix-huit mois de service
civile que je passais à luniversité. Et
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!